Un jeune homme voulant améliorer le monde en se lançant naïvement dans le superhéroisme, un violent braquage qui cache bien autre chose, une ancienne malédiction roumaine corrompant les actes d'un quidam, une émission de téléréalité qui part sévèrement en sucette, un monde microscopique qui s'effondre, ou encore les tribulations d’un petit groupe de ska-punk à travers l’Europe... Histoires qui finissent mal rassemble 11 nouvelles, allant du délire psychotique au conte apocalyptique, en passant par le polar fantastique ou l'anecdote antiromantique.
Ce recueil est composé d’histoires de longueurs et de styles variés, relevant majoritairement de la fiction et finissant majoritairement mal – j’ai déjà vendu la mèche avec le titre de l’ouvrage, n’est-ce pas. Elles ont été écrites il y a de nombreuses lunes, entre 1999 et 2005, à une époque où les smartphones n’existaient pas et où l’internet n’était pas encore omniprésent. Légères et décalées aussi bien que graves et dramatiques, bien souvent tout à la fois, elles abordent avec une pointe d’humour les sujets universels que sont la vie, la mort, l'amour, la violence, la folie, la religion, le passage à l’âge adulte : cette difficile lutte pour se trouver une place qui nous convienne dans un monde qui ne nous convient pas. Notez que l’exploration de ces thèmes m’a mené à décrire des scènes violentes dont certaines pourraient être choquantes, cet ouvrage ne s’adresse donc qu’aux esprits critiques et matures.
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